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Transaction immobi­lière : Analyse straté­gique et conseils d’experts pour sécuriser vos acqui­si­tions et cessions

Transaction immobilière : la réussir grâce à une analyse de qualité - Ville vue de haut - immeubles anciens - Wüest Partner France

Table des matières

Au troisième trimestre 2024, le marché immobilier français affiche des dynamiques contrastées entre les secteurs tertiaire et résidentiel. 

Immobilier tertiaire
L’investissement en immobilier tertiaire a atteint 12,1 milliards d’euros en 2024. Malgré un rebond au quatrième trimestre, seuls 4,7 milliards d’euros ont été consacrés aux bureaux, confirmant un désin­térêt croissant pour cette catégorie d’actifs. Le marché locatif des bureaux en Île-de-France ralentit également, avec une demande placée en baisse de 11 % entre les quatrièmes trimestres 2023 et 2024, tandis que l’offre immédiate dépasse désormais les 5,6 millions de mètres carrés dispo­nibles. 

Immobilier résidentiel 
Paral­lè­lement, les prix des logements anciens en France (hors Mayotte) ont montré une quasi-stabilité au quatrième  trimestre 2024, avec une variation de ‑0,1 % par rapport au trimestre précédent. Sur un an, les prix ont poursuivi leur baisse pour le quatrième  trimestre consé­cutif, enregis­trant un recul de ‑3,9 %. Cette diminution affecte tant les appar­te­ments (-3,8 %) que les maisons (-3,9 %).  

Dans ce contexte de trans­for­ma­tions struc­tu­relles, il est essentiel de s’appuyer sur des analyses appro­fondis et des données fiables pour comprendre l’évo­lution des marchés, qu’ils soient résiden­tiels ou tertiaires. Des outils tels que l’Immo-Monitoring France et les publi­ca­tions trimes­trielles  de  Wüest Partner permettent d’évaluer les dynamiques du marché immobilier et d’adopter une approche straté­gique lors des transac­tions. 

Voici quelques éléments clés à consi­dérer. 

Maîtrisez les enjeux des transac­tions immobi­lières en comprenant chaque étape clé pour prendre des décisions éclairées 

Dans l’immo­bilier tertiaire, chaque transaction – qu’il s’agisse de bureaux, locaux commer­ciaux ou actifs logis­tiques – repose sur une approche straté­gique et métho­dique. De la valori­sation des revenus locatifs à l’éva­luation de la capita­li­sation et de la conformité régle­men­taire, maîtriser ces étapes clés est indis­pen­sable pour protéger vos intérêts. 

Transaction immobi­lière indivi­duelle

Définition de la transaction immobi­lière indivi­duelle : Les transac­tions indivi­duelles concernent généra­lement l’achat, la vente ou la réhabi­li­tation de biens tels que des immeubles de bureaux, des centres commer­ciaux ou des entrepôts. Ces processus néces­sitent une évaluation fine de la renta­bilité, de la durabilité, et de la conformité régle­men­taire.

Les Étapes du Processus de Transaction Immobilière Individuelle Wüest Partner

Étape 1 : Évaluation du bien

La première étape d’une transaction immobi­lière indivi­duelle consiste à évaluer le bien en profondeur. Cela implique une analyse détaillée de sa qualité, en tenant compte de critères tels que l’état locatif (vacance, durée des baux), les oppor­tu­nités de valori­sation possibles grâce à des travaux ou à des projets d’aménagement urbain, ainsi que sa perfor­mance énergé­tique. Il est essentiel de faire appel à des experts pour obtenir une évaluation immobi­lière, tenant compte de tous ces facteurs. 

Étape 2 : Analyse du marché

Une analyse complète du marché est indis­pen­sable pour une transaction réussie. Cela inclut l’étude des tendances locales et natio­nales, telles que la demande pour des bureaux flexibles, les nouvelles exigences environ­ne­men­tales (comme le décret tertiaire) et l’évo­lution des rende­ments locatifs par type de bien. Cette analyse permettra d’identifier les perspectives de valori­sation du bien à moyen et long terme et de s’assurer qu’il est en adéquation avec les dynamiques écono­miques et urbaines locales. 

Étape 3 : Négociation et struc­tu­ration

La négociation est cruciale pour aligner les objectifs finan­ciers avec les condi­tions d’achat. Il est essentiel de définir des clauses spéci­fiques sur les condi­tions suspen­sives liées aux diagnostics régle­men­taires (tels que le décret tertiaire), ainsi que sur les aspects finan­ciers et techniques (montant du finan­cement, dépôt, délais de réali­sation). Cette étape nécessite une approche équilibrée, où chaque partie doit satis­faire ses exigences tout en préservant la sécurité juridique de la transaction. 

Étape 4 : Vérifi­cation des aspects juridiques

La vérifi­cation juridique (due diligence) garantit la conformité et la sécurité de la transaction. Cela inclut l’examen des documents légaux (titre de propriété, servi­tudes), la conformité avec les règles d’urbanisme locales, et la réali­sation des diagnostics techniques obliga­toires. Il est également essentiel d’analyser les procès-verbaux d’assemblée générale pour les biens en copro­priété. Cette étape permet de confirmer que toutes les obliga­tions légales sont respectées avant la finali­sation de la vente. 

Étape 5 : Conclusion de la transaction

La dernière étape du processus consiste à forma­liser l’accord en rédigeant un avant-contrat appelé compromis de vente, qui inclut toutes les condi­tions négociées et les clauses suspen­sives. Il est essentiel de rassembler tous les documents néces­saires et de vérifier les garanties finan­cières et les assurances avant de signer l’acte authen­tique. Le notaire joue un rôle clé en sécurisant la transaction et en s’assurant que toutes les condi­tions légales et contrac­tuelles sont respectées pour garantir une conclusion sans faille. 

Transaction de porte­feuille

Définition de la transaction immobi­lière de porte­feuille : La transaction immobi­lière de porte­feuille implique un ensemble d’actifs immobi­liers, souvent diver­sifiés en termes de typologie (bureaux, retail, logis­tique). L’objectif principal est de maximiser le rendement tout en limitant les risques via une stratégie de diver­si­fi­cation. 

Étape 1 : Définition et objectifs d’investissement

Avant de commencer à constituer un porte­feuille immobilier, il est primordial de définir une stratégie d’investissement claire, en fonction des objectifs que vous souhaitez atteindre. Quelle est votre tolérance au risque ? Quels rende­ments attendez-vous ? Cherchez-vous à générer des revenus réguliers, à maximiser les plus-values ou à diver­sifier votre patri­moine ? Cette analyse initiale guidera vos décisions d’acqui­sition et l’équilibre de votre porte­feuille immobilier. 

Étape 2 : Évaluation des biens et diver­si­fi­cation

Une fois les objectifs définis, l’étape suivante consiste à évaluer les biens et à diver­sifier le porte­feuille de manière straté­gique. Cela implique de répartir les inves­tis­se­ments entre diffé­rents types de biens (bureaux, commerces, entrepôts) et dans plusieurs zones géogra­phiques pour réduire les risques. L’évaluation de chaque bien doit prendre en compte sa valeur intrin­sèque actuelle, son potentiel de plus-value et sa contri­bution à l’équilibre global du porte­feuille. L’objectif est de maximiser le rendement tout en minimisant le risque. 

Étape 3 : Plani­fi­cation fiscale et finan­cière 

Pour optimiser un porte­feuille immobilier, il est crucial de définir une stratégie fiscale et finan­cière globale. Cela commence par le choix du statut juridique adapté à vos inves­tis­se­ments (SCI, SCPI, OPCI), en fonction des obliga­tions fiscales et adminis­tra­tives propres à chaque option. La plani­fi­cation doit également inclure une stratégie de finan­cement flexible, permettant de saisir les oppor­tu­nités du marché. Il est important de trouver un équilibre entre les besoins de tréso­rerie et l’effet de levier, afin d’opti­miser les rende­ments tout en maîtrisant les risques finan­ciers. 

Étape 4 : Gestion des transac­tions multiples 

Lorsque plusieurs transac­tions immobi­lières sont menées en parallèle, il est crucial de coordonner effica­cement les aspects juridiques, finan­ciers et opéra­tionnels pour éviter tout retard ou litige. Ce processus complexe nécessite souvent l’intervention de profes­sionnels spécia­lisés dans la gestion de porte­feuilles immobi­liers. Les experts en transaction immobi­lière, en gestion juridique et en stratégie finan­cière sont essen­tiels pour assurer le bon dérou­lement des acqui­si­tions et garantir la réussite de votre stratégie d’investissement. 

Lorsque plusieurs transac­tions immobi­lières sont menées en parallèle, il est crucial de coordonner effica­cement les aspects juridiques, finan­ciers et opéra­tionnels pour éviter tout retard ou litige. Ce processus complexe nécessite souvent l’intervention de profes­sionnels spécia­lisés dans la gestion de porte­feuilles immobi­liers. Les experts en transaction immobi­lière, en gestion juridique et en stratégie finan­cière sont essen­tiels pour assurer le bon dérou­lement des acqui­si­tions et garantir la réussite de votre stratégie d’investissement. 

Définition de la transaction d’actions immobi­lières : Les transac­tions de type Share Deal permettent d’acquérir des parts dans des sociétés proprié­taires d’actifs immobi­liers. Cette stratégie, courante dans l’immo­bilier tertiaire, offre des avantages fiscaux et juridiques spéci­fiques mais exige une expertise appro­fondie pour sécuriser l’investissement. 

Graphique illustrant les étapes clés du processus de transaction d’actions : analyse de la société cible, vérification des parts et réglementations, négociation, structuration et finalisation de l’acquisition. Infographie Wüest Partner

Étape 1 : Analyse de la société cible 

L’acquisition immobi­lière par Share Deal est une approche fonda­men­ta­lement diffé­rente de l’achat direct. L’acquéreur investit dans des parts immobi­lières détenues par une société plutôt que dans un bien immobilier en propre. À ce titre, l’analyse préalable à l’inves­tis­sement doit porter sur diffé­rents points critiques de cette structure :  

  • Son état financier. 
  • Ses flux de tréso­rerie. 
  • Ses engage­ments contrac­tuels. 
  • Ses litiges ou conten­tieux éventuels.  
  • Ses garanties offertes. 

Étape 2 : Vérifi­cation des parts et régle­men­ta­tions

Après s’être assuré de la solidité finan­cière d’une société d’investissement, il est essentiel d’examiner ses statuts afin de prendre connais­sance des pactes d’actionnaires et des mécanismes de gouver­nance en place. Grâce à cette analyse, l’investisseur sera en mesure d’évaluer la perti­nence, ou non, d’acquérir une part sociale de l’entreprise.   

Étape 3 : Négociation et struc­tu­ration de l’achat de parts

La phase de négociation doit porter en priorité sur le prix des actions et les condi­tions liées à leur acqui­sition. À ce titre, les mécanismes d’ajus­tement de prix des parts doivent faire l’objet d’une attention parti­cu­lière, de même que les condi­tions suspen­sives spéci­fiques. Il peut également s’avérer judicieux de sécuriser son inves­tis­sement avec une clause de garantie d’actif et de passif (GAP). L’objectif est de protéger ses intérêts, tout en garan­tissant une exécution fluide de l’opération.   

Étape 4 : Finali­sation de l’acquisition

La phase finale d’une transaction d’actions immobi­lières se concentre sur l’ensemble des vérifi­ca­tions de conformité et la finali­sation de l’opération. À ce stade, faire appel à l’expertise d’un conseil spécialisé comme Wüest Partner s’avère souvent déter­minant pour faire face aux complexités finan­cières et juridiques et sécuriser les intérêts de l’acquéreur.   

Réussir votre transaction immobi­lière : les facteurs clés 

Infographie des facteurs clés pour réussir une transaction immobilière résidentielle ou tertiaire : prix, localisation, environnement, financement - Wüest Partner

Facteur 1 : Prix et analyse de marché

Le prix d’un bien immobilier, qu’il soit dans le secteur résidentiel (logements) ou dans le secteur tertiaire (bureaux, locaux commer­ciaux, entrepôts), est crucial pour le succès de la transaction. Il doit être déterminé en fonction de l’état du marché local, des carac­té­ris­tiques spéci­fiques de l’immeuble, et de sa renta­bilité future dans son secteur respectif. Les éléments à prendre en compte sont : 

  • L’emplacement : Proximité des infra­struc­tures, acces­si­bilité en trans­ports publics, dynamisme de la zone d’activité (par exemple, un quartier d’affaires pour le secteur tertiaire ou un quartier résidentiel recherché pour le résidentiel). 
  • L’état du bien : Âge du bâtiment, rénova­tions récentes, conformité aux normes en vigueur, et adéquation avec les besoins des occupants (bureaux modernes ou locaux commer­ciaux pour le tertiaire, équipe­ments adaptés pour le résidentiel). 
  • L’agencement du bien : Super­ficie locative, flexi­bilité des espaces, aména­ge­ments adaptés aux besoins des occupants (bureaux open-space ou commerces spacieux dans le tertiaire, ou agencement optimisé pour le confort des résidents dans le résidentiel). 
    Cette analyse permet de s’assurer que l’investissement est correc­tement évalué, qu’il soit dans le secteur résidentiel ou tertiaire, et constitue une base solide pour la négociation. 

Facteur 2 : Empla­cement et potentiel de dévelop­pement

Au-delà des carac­té­ris­tiques propres au bien, son empla­cement joue un rôle clé dans la réussite d’une transaction immobi­lière, tant en résidentiel qu’en tertiaire. 

Dans le secteur tertiaire, cela inclut l’étude des zones d’activité écono­miques, des centres d’affaires et de la proximité avec des infra­struc­tures commer­ciales et indus­trielles. Par exemple, un immeuble de bureaux ou de locaux commer­ciaux doit être proche de zones d’affaires en plein dévelop­pement ou de pôles commer­ciaux majeurs pour maximiser son potentiel de valori­sation. 
Dans le secteur résidentiel, la locali­sation doit garantir l’accessibilité aux services de proximité, tels que les écoles, commerces, et infra­struc­tures de transport. Un projet de rénovation urbaine ou l’amé­lio­ration de la qualité de vie dans le quartier peut également avoir un impact positif sur la valeur des biens résiden­tiels à long terme. 

Pour appro­fondir, découvrez nos études et analyses sur le marché immobilier français

Facteur 3 : Critères environ­ne­mentaux et coûts d’entretien

Les enjeux environ­ne­mentaux sont devenus incon­tour­nables dans les transac­tions immobi­lières, aussi bien pour le résidentiel que pour le tertiaire. 

Secteur résidentiel 

  • Diagnostic de Perfor­mance Énergé­tique (DPE) : évalue la consom­mation d’énergie et guide les travaux d’amélioration. 
  • Impact sur la valeur du bien : le DPE est désormais un critère clé dans la fixation du prix de vente. 
  • Outils d’évaluation : des solutions comme Wüest Refurb permettent d’analyser la conformité environ­ne­mentale et d’identifier les rénova­tions à forte valeur ajoutée. 
     

Secteur tertiaire 

  • Labels environ­ne­mentaux : certi­fi­ca­tions telles que BREEAM, HQE, LEED pour mesurer la perfor­mance énergé­tique et écolo­gique des bâtiments. 
  • Attrac­tivité accrue : ces certi­fi­ca­tions séduisent les entre­prises engagées dans une démarche RSE et peuvent offrir des avantages fiscaux en cas de rénovation. 
  • Incita­tions publiques : les pouvoirs publics encou­ragent les inves­tis­se­ments dans des bâtiments conformes aux normes environ­ne­men­tales. 
  • Réduction des coûts d’entretien : un bâtiment mieux isolé et énergé­ti­quement performant diminue les charges à long terme. 

Des outils comme Wüest Refurb sont utilisés dans ces deux secteurs pour optimiser la conformité environ­ne­mentale et valoriser les actifs immobi­liers. 

Pour aller plus loin, consultez nos articles sur la taxonomie européenne et l’immobilier durable. 

Facteur 4 :  Finan­ce­ments et fiscalité

Une transaction immobi­lière réussie repose sur une gestion efficace de la fiscalité et du finan­cement, que ce soit pour le résidentiel ou le tertiaire. 

Secteur résidentiel : 

  • Sélection des modes de finan­cement : prêts immobi­liers, taux d’intérêt, durées adaptées. 
  • Optimi­sation fiscale via des dispo­sitifs comme : 
  • Loi Denor­mandie : incitation à l’investissement dans l’immobilier ancien, avec des réduc­tions fiscales pour les rénova­tions de logements destinés à la location. 
  • Prêt à Taux Zéro (PTZ) : soutien à l’achat de résidence principale. 
     
  • Struc­tu­ration des inves­tis­se­ments via : 
  • SCPI (Sociétés Civiles de Placement Immobilier) : mutua­li­sation des risques. 
  • OPCI (Organismes de Placement Collectif en Immobilier) : gestion flexible des actifs. 

Secteur tertiaire : 

  • Sélection des modes de finan­cement : prêts immobi­liers, taux d’intérêt, durées adaptées aux spéci­fi­cités du secteur tertiaire. 
  • Optimi­sation fiscale avec des dispo­sitifs spéci­fiques aux inves­tis­se­ments dans l’immobilier commercial et indus­triel. 
  • Maximi­sation de la renta­bilité nette en tenant compte des spéci­fi­cités des bâtiments commer­ciaux, indus­triels, et de bureaux. 
  • Antici­pation des évolu­tions fiscales et adaptation aux normes du secteur tertiaire. 

Un bon accom­pa­gnement permet ainsi d’optimiser les leviers finan­ciers et fiscaux pour sécuriser et renta­bi­liser son inves­tis­sement, tant dans le résidentiel que dans le tertiaire. 

Tendances du marché immobilier et évolution des prix des transac­tions en 2024

Depuis l’entrée en vigueur du décret n° 2018–1350 du 28 décembre 2018, l’his­to­rique des transac­tions immobi­lières des cinq dernières années est désormais acces­sible, renforçant ainsi la trans­pa­rence du marché, tant pour le secteur résidentiel que tertiaire

En 2024, l’inflation en France a ralenti à 2 % sur un an, selon l’INSEE. Ce ralen­tis­sement pourrait ouvrir la voie à une réduction progressive des taux direc­teurs, favorisant ainsi un environ­nement propice aux inves­tis­se­ments immobi­liers, que ce soit pour des biens résiden­tiels ou des biens tertiaires (bureaux, locaux commer­ciaux, entrepôts). 

Paral­lè­lement, le marché immobilier français a enregistré environ 792 000 transac­tions sur les 12 derniers mois, en baisse par rapport aux 825 000 de fin mars 2024 et aux 872 000 de fin décembre 2023, selon les Notaires de France. Cette tendance à la baisse touche autant le secteur résidentiel que tertiaire, bien que le secteur tertiaire puisse être plus impacté par les évolu­tions écono­miques et les choix des entre­prises en matière de surfaces de bureaux. 

Cette dynamique souligne la nécessité pour les inves­tis­seurs de s’adapter à un marché en évolution, en tenant compte des fluctua­tions écono­miques et des spéci­fi­cités de chaque secteur. 

Pour une analyse appro­fondie des tendances du marché immobilier en France, consultez l’étude annuelle Immo-Monitoring de Wüest Partner. 

Par ailleurs, les questions environ­ne­men­tales occupent une place centrale dans les transac­tions immobi­lières et leur impor­tance ne cesse de croître. Pour le secteur résidentiel, le Diagnostic de Perfor­mance Énergé­tique (DPE) est essentiel. Les logements énergi­vores (classés F ou G) voient leur valeur diminuer, tandis que les biens perfor­mants bénéfi­cient d’une plus-value. Dans le secteur tertiaire, des labels comme BREEAM, HQE, ou LEED sont utilisés pour mesurer la perfor­mance environ­ne­mentale des immeubles de bureaux ou locaux commer­ciaux, et les bâtiments conformes à ces normes attirent souvent des entre­prises soucieuses de leur impact écolo­gique. 
Wüest Partner propose une évaluation appro­fondie de la qualité énergé­tique des bâtiments, adaptée à chaque secteur, permettant ainsi d’intégrer ces critères dans votre stratégie de valori­sation. 
Souvent source d’inquiétude pour les inves­tis­seurs, les travaux de rénovation peuvent, sous certaines condi­tions, contribuer pleinement à la valori­sation du bien. Que ce soit pour un bien résidentiel ou tertiaire, l’anti­ci­pation des travaux néces­saires, notamment pour améliorer la perfor­mance énergé­tique ou adapter les espaces à de nouvelles normes, permet non seulement d’opti­miser les coûts mais aussi de garantir la pérennité de la valeur du bien sur le long terme. 

 Infographie sur les critères de valorisation immobilière pour les secteurs résidentiel et tertiaire : emplacement, infrastructures, fiscalité, enjeux environnementaux, DPE, rénovation et stratégie de valorisation à long terme. Infographie Wüest Partner

Anticipez et maîtrisez chaque étape de votre transaction immobi­lière avec un expert

Anticipez et maîtrisez chaque étape de votre transaction immobi­lière avec un expert

Faire appel à un spécia­liste du conseil immobilier permet de mieux comprendre les enjeux spéci­fiques et d’anticiper les critères qui influen­ceront le succès de votre transaction. 

Wüest Partner accom­pagne les inves­tis­seurs et gestion­naires d’actifs tout au long du processus de transaction. Nous mettons à votre dispo­sition des solutions digitales, des outils d’évaluation avancés et une base de données complète pour optimiser la gestion de vos projets d’inves­tis­sement. 

Notre expertise indépen­dante vous guide en amont et pendant la transaction, en offrant des conseils straté­giques basés sur des données fiables et actua­lisées. Grâce à nos prévi­sions de marché, à l’analyse des dynamiques locales et à notre capacité à identifier les oppor­tu­nités de valori­sation, nous facilitons la prise de décision dans un environ­nement complexe. 

Bien que nous soyons princi­pa­lement spécia­lisés dans le secteur tertiaire  (bureaux, locaux commer­ciaux, entrepôts), nous inter­venons également pour les inves­tis­seurs insti­tu­tionnels (acteurs publics, collec­ti­vités locales) ou family offices intéressés par des inves­tis­se­ments dans le secteur résidentiel, notamment dans des projets d’envergure ou des actifs spéci­fiques. 

Nos experts sont à votre dispo­sition pour vous accom­pagner dans la définition et la mise en œuvre de vos objectifs straté­giques. Contactez-nous pour un accom­pa­gnement person­nalisé et sur mesure. 


Contactez nos experts pour en savoir plus :

Personnes de contact pour la France et la Suisse

Marc Yehya
Director

ESG & Sustai­na­bility Manager

E‑Mail à Marc Yehya
+33187653513

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