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Stratégie de sous-portefeuille et plan de relogement tempo­raire

Dernière mise à jour: 12 September 2024

Prépa­ration de la stratégie du sous-portefeuille pour les bâtiments adminis­tratifs de la ville de Zurich (en tenant compte du dévelop­pement du personnel et de l’entretien des bâtiments) et du plan de relogement tempo­raire  (travail de plani­fi­cation) pour la mise en œuvre de la stratégie de variantes. 

Le résultat de ce projet se présente sous la forme d’un rapport détaillant les possibles variantes du plan de relogement tempo­raire. Il vient en prolon­gement du rapport straté­gique de 2017 et constitue la base concrète selon laquelle sera planifiée et mise en œuvre l’occu­pation. 

Le plan de relogement tempo­raire aborde diffé­rents champs d’action. Les exigences spatiales obliga­toires doivent être remplies, les éventuelles lacunes de l’offre devront être anticipées et la flexi­bilité pour les nouveaux dévelop­pe­ments devra être maintenue. Il faut, en outre, rechercher des empla­ce­ments pour la création de diverses stratégies répondant aux exigences spatiales.

En respectant les diverses spéci­fi­ca­tions, il a été possible d’éla­borer trois variantes en colla­bo­ration avec les délégués dépar­te­mentaux. Dans la variante dite «Ping Pong», un bâtiment adminis­tratif est prévu comme un bâtiment de relogement tempo­raire. Les utili­sa­teurs se déplacent les uns après les autres dans le bâtiment de relogement tempo­raire avant de retourner à l’emplacement initial. La situation cible est prati­quement identique à la situation de départ. Dans la variante «en chaîne», chaque bâtiment rénové sert de nouvel empla­cement pour les utili­sa­teurs de la rénovation suivante. La situation cible correspond ici à un dépla­cement d’adresses avec une optimi­sation de la locali­sation par concen­tration des services dans les bâtiments officiels. La variante «forme mixte» vise à mêler les deux concepts de relogement  tempo­raire. Les trois variantes ont été systé­ma­ti­quement examinées du point de vue financier ainsi que de celui de l’uti­li­sateur et de l’exploitant. 

Au total, ce sont plus de 60 bâtiments, soit environ la moitié du sous-portefeuille des bâtiments adminis­tratifs, sont concernés par le plan de relogement tempo­raire. La faisa­bilité d’éven­tuels bâtiments d’ici 2030 a été brièvement examinée et sera peaufinée lors d’une deuxième phase.